Céline Martelet
Journaliste indépendante, elle a couvert de nombreux conflits, de Gaza à l’Irak en passant par la Syrie. Elle est coautrice d’Un parfum de djihad (Plon, 2018) et a réalisé de nombreux podcasts, dont La Cage, pour Arte Radio, et Don’t Forget Gaza, pour Frictions.
©SALOMÉ OYALLON
Journaliste indépendante, elle a couvert de nombreux conflits, de Gaza à l’Irak en passant par la Syrie. Elle est coautrice d’Un parfum de djihad (Plon, 2018) et a réalisé de nombreux podcasts, dont La Cage, pour Arte Radio, et Don’t Forget Gaza, pour Frictions.

Ses articles

 

Le 23 août 2023, dans la ville de Gaza. Aya Mghames, entourée de sa famille, vient de recevoir son diplôme en sciences économiques. Sa mère Wafaa se tient à côté d’elle, et sa nièce Joury est la première des enfants à gauche. Depuis avril 2024, la famille est séparée : Aya s’est réfugiée au Caire en Égypte, Joury vit avec ses parents et ses frères près d’Angers en France. Wafaa a, pour sa part, décidé de rester en Palestine avec son plus jeune fils. Archive personnelle.
Récit
International

Gaza, l’amour et la guerre en héritage

Selon l’ONU, les femmes et les enfants repré­sentent près de 70% des quelque 50 000 personnes tuées ou des 110 000 blessées par l’armée israé­lienne depuis le déclen­che­ment de la guerre en octobre 2023. La grande repor­trice Céline Martelet a échangé avec trois femmes d’une même famille gazaouie : Joury, 11 ans, réfugiée en France près d’Angers ; sa tante, Aya, 24 ans, exilée au Caire, et sa grand-mère, Wafaa, qui a choisi de rester dans l’enclave. Toutes trois témoignent de leur vie bou­le­ver­sée par la guerre mais aussi de l’amour familial qui les sauve.

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