Mois de mars/avril
RENCONTRES
Venez échanger avec l’équipe de La Déferlante
Venez échanger avec l’équipe de La Déferlante autour de notre n°17 «Travailler, à la conquête de l’égalité », lors de nos événements :
⟶ À l’occasion de la prochaine édition du festival « Femmes, droits sur Mars » organisé par la mairie des 4e et 5e arrondissements de Marseille, Lucie Geffroy, corédactrice en chef de La Déferlante, rencontrera les lecteur·ices le 18 mars à 19h à la Bibliothèque des Cinq Avenues pour discuter autour de la revue et des sujets qu’elle porte. Réservation par téléphone au 04 13 94 82 50.
⟶ La Déferlante sera présente au festival Le Temps des Féminismes le 23 mars à 19h à Strasbourg. Vous pourrez y rencontrer le dimanche 23 mars Elsa Sabado et Sylvie Fagnart, journalistes et coautrices des articles sur le travail domestique et les inégalités salariales dans le dernier numéro « Travailler » de la revue.
⟶ Le lundi 24 mars, La Déferlante participe au Festival Séries Mania : Marion Pillas, corédactrice en chef de la revue, animera une masterclass d’une heure et demie, dont 15 minutes de questions, avec Lola Lafon, fan de séries notoire et présidente du jury de la catégorie panorama international.
⟶ La Déferlante sera présente au festival Central Vapeur de Strasbourg qui met à l’honneur les arts graphiques. Un stand proposera revues, goodies et ouvrages à la vente. Léa Djeziri, illustratrice d’Iddù (La Déferlante Éditions, 2024), sera présente le dimanche pour dédicacer l’album.
⟶ Le mercredi 2 avril, Marion Pillas, corédactrice en chef de La Déferlante, sera présente à la librairie Brin d’acier (Bruxelles) à partir de 19h pour échanger avec les lecteur·ices autour de la revue.
Le 8 mars 2025, à la Maison des métallos (Paris 11e), La Déferlante fêtera la sortie de son dix-septième numéro, sur le thème « Travailler », soufflera ses quatre bougies et célèbrera la journée internationale de lutte pour les droits des femmes.
⚠️ La soirée est complète mais, en fonction de l’affluence le jour même, nous remettrons des places à l’entrée à partir de 20h !
Au programme de la soirée :
18h : ouverture des portes
18h30 : Table ronde « Si on s’arrête, le monde s’arrête »
La grève féministe est-elle le seul moyen de se faire entendre ?
Avec :
Fernande Bagou, agente de nettoyage, déléguée syndicale CFDT, ancienne porte-parole des grévistes de la société Onet en 2017
Lucie Castets, ancienne candidate du Nouveau front populaire à Matignon,
Nina Faure, documentariste, membre de La Syndicale,
Verónica Gago, chercheuse et militante féministe argentine. Autrice de La puissance féministe — Ou le désir de tout changer (Divergences, 2021).
Alors que la mobilisation citoyenne dans les urnes a récemment montré ses limites face à la détermination des dirigeants à imposer leur agenda et leurs décisions, il se murmure, de plus en plus distinctement dans les milieux féministes, que la grève serait le dernier levier des minorités pour se faire entendre.
En encourageant les femmes comme toutes les personnes précaires et discriminées à arrêter le travail (rémunéré ou gratuit), la grève féministe intègre à une même mobilisation les revendications d’égalité salariale, celles sur la rémunération du travail domestique, ou celles portant sur la fin des violences de genre (violences sexuelles et féminicides). Elle fait converger les luttes sociales, féministes, antiracistes dans un vaste mouvement de contestation du capitalisme patriarcal blanc, affranchi des partis politiques traditionnels.
En 2025, alors qu’un peu partout en Europe et aux États-Unis, l’extrême-droite est en train de prendre le pouvoir, la résistance passe-t-elle finalement par le fait de cesser le travail ? Comment faire converger les luttes des minorités de genre, des travailleuses et travailleurs précaires et racisé·es, maillons essentiels des économies occidentales ? Comment penser la place des syndicats, des partis politiques mais aussi des artistes, des intellectel·les et des médias dans ce mouvement ? Quelles sont ses réelles chances de succès ?
20h15 : Quiz « Qui est Qui ? » avec Miskin Télé
Nostalgique des années 90 et de l’émission « Qui est qui ? » animée par Marie-Ange Nardi sur France 2 ? Adepte de perles télévisuelles et de quiz en tout genre ? Venez jouer avec Marie Bonnisseau, créatrice du compte Instagram Miskin Télé, et résoudre les énigmes posées par des images et vidéos ressurgies des tréfonds des archives INA. Des lots proposés par La Déferlante à gagner !
21h30 : Showcase de La Chica
La Chica, musicienne franco-vénézuélienne, transmet des émotions brutes et casse les codes en proposant un collage de textures sonores qui mélange musiques latina, doo-wop et hip hop.
22h : Karaokay géant et DJ set de Verginie Descente
Verginie Descente, qui a enflammé notre précédente soirée, revient pour transformer cette journée de grève en rave féministe. On espère qu’il vous restera de la voix après la manif pour entonner des tubes queers et pop pendant son karaokay mais aussi de l’énergie pour son set enflammé !
1h : Fermeture des portes
Également :
Stand La Déferlante où vous pourrez rencontrer les équipes
Forum des associations en lien avec notre thématique
Billetterie à tarif unique : 10 €
On vous attend nombreuses et nombreux !
20–24 janvier 2025
Comment remédier aux silences de l’histoire ?
La Déferlante au théâtre de la comédie de Clermont
Dans le cadre d’un partenariat avec le festival Transforme et la fondation d’entreprise Hermès, La Déferlante accompagnera les représentations clermontoises de la pièce Memory of Mankind, de Marcus Lindeen et Marianne Ségol : le lundi 20 janvier, la fabriqueuse d’histoires Nathalie Sejean animera une version courte et en présentiel de son atelier « Archiver l’intime », et le vendredi 24 janvier, Sarah Benichou, journaliste indépendante et membre du comité éditorial de La Déferlante, modèrera une discussion sur l’archivage des mémoires minoritaires entre l’historienne Clyde Plumauzille et le sociologue Axel Ravier, par ailleurs comédien amateur dans la pièce Memory of Mankind.
Le 18 décembre 2024, à la Maison des métallos (Paris 11e), La Déferlante fête la sortie de son seizième numéro, sur le thème « S’habiller ».
La question de l’habillement se situe à l’intersection des oppressions sexistes, racistes, validistes, classistes, mais aussi économiques et écologiques. Car si le vêtement est, pour les groupes minorisés, un motif de stigmatisation, ses modèles de fabrication nous interrogent également sur notre rapport déséquilibré aux pays du Sud global. Le plus souvent, les ouvrier·es de l’industrie de la fast-fashion sont des femmes, sous-payées et travaillant dans des conditions dangereuses pour leur santé et pour l’environnement. Ce nouveau numéro se propose d’examiner les formes d’oppression qui se nichent dans ce geste quotidien qu’est celui de s’habiller.
Au programme de la soirée :
18 h : ouverture des portes et début du forum des associations avec Action Aid, Classy X Design, Éthique sur l’étiquette, Féministes contre le cyberharcèlement et Lutte HSM.
19 h — 19h30 : dédicaces des auteur·ices de La Déferlante Éditions : Camille Bouvot-Duval, autrice d’Iddù ; Marie Docher, autrice et photographe de Et l’amour aussi ; Élodie Font qui a écrit À nos désirs, dans l’intimité des lesbiennes et Tal Madesta, auteur de La Fin des Monstres.
19h30 : table ronde intitulée « Une autre mode est possible » réunissant la styliste Jeanne Friot, l’historienne de la mode Sarah Banon et l’activiste, membre d’Actionaid France, Salma Lamqaddam. Animée par Marion Pillas, cofondatrice de La Déferlante, cet échange portera sur les logiques d’oppression qui interviennent à toutes les étapes du cycle de vie des vêtements. Depuis les usines qui les produisent aux corps qui les portent, comment peuvent-ils non plus nous contraindre, mais nous libérer ?
Interprétation en langues des signes françaises en direct
21h30 à minuit : performance et karaokay de Sara Forever x Verginie Descente
Présentation des invité·es :
- Sarah Banon est professeure en théorie de la mode à l’Institut Français de la Mode. Elle est doctorante en sciences politiques à l’Université Paris 8 — Vincennes Saint-Denis, où elle s’interroge sur une potentielle réconciliation entre la mode et le féminisme au travers de la question de la libération sexuelle qu’elle approche par l’analyse conjointe des publications féministes et des grands magazines de mode. Elle coordonne à l’Institut Français de la Mode des cycles de cours sur l’approche politique du vêtement et de la mode.
- Styliste de prêt-à-porter diplômée de l’école Duperré et de l’Institut Français de la Mode, Jeanne Friot crée en 2020 sa marque non genrée, inclusive et écoresponsable à son nom. Elle a notamment habillé des stars comme Madonna ou des figures historiques comme la « Cavalière d’Argent » remarquée lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques 2024. Ses collections s’inspirent d’œuvres artistiques et littéraires telles que celles de Monique Wittig.
- Chargée de campagne pour l’ONG féministe ActionAid, Salma Lamqaddam s’intéresse aux luttes et aux résistances des ouvrières dans les chaines d’approvisionnement mondiales, notamment dans l’industrie de la mode et de l’habillement. Elle mène des campagnes de solidarité avec les ouvrières, contre l’impunité des multinationales qui organisent l’exploitation et les violences de genre partout dans le monde
- Artiste performer, finaliste de Drag Race France saison 2, Sara Forever ne cesse d’étonner par ses performances. Après avoir travaillé avec des chorégraphes internationaux en danse contemporaine, tels que Boris Charmatz, Jean-Claude Gallotta ou encore Marlène Saldana et Jonathan Drillet au théâtre, et avoir performé sur plusieurs scènes telles que le MoMA à New York ou la Tate Modern de Londres, Matthieu commence le drag en 2020. Il signe plusieurs pièces dont la dernière, Dynasties, un seul en scène qui évoque les relations complexes et constitutives avec la notion de filiation, crée à l’automne 2024. Ses performances mêlant souvent chant, danse et jeu, sont toujours l’occasion de faire se rencontrer des concepts et une forme de physicalité d’ou découlent de l’absurde et de la poésie. C’est à l’été 2023 que le grand public le découvre lors de la diffusion de Drag Race France saison 2 ou il sera finaliste. Finale dans laquelle il réalisera son tube Madame Forever et sa célèbre performance à la peinture bleue. A l’automne 2023 il est en couverture du Magazine Antidote et joue à Bercy à l’occasion de la tournée Werq The World.
- Verginie Descente – Tubes et Techno. D’habitude, iel mixe de la House dans les apparts des copaines mais c’était avant de découvrir qu’on peut mélanger Céline Dion et de la techno qui tape. Queer et popu, Verginie Descente débarquera avec un set enflammé au KARAOKAY qui va mêler tous les gender pour envoûter vos oreilles et faire trembler vos petits orteils.
Informations pratiques :
📆 mercredi 18 décembre 2024
🎫 Billetterie :
tarif solidaire à 5 € (étudiant·es et personnes précaires)
tarif équilibre à 9 €
tarif de soutien à 12 €, si vous avez les moyens de nous soutenir
🕛 18h — 00h
📍 Maison des métallos 94 rue Jean Pierre Timbaud 75011 Paris
Accessible PMR — Pas de vestiaire
📚 Stand des revues et des livres de La Déferlante pour compléter votre collection
©️ Illustration de couverture : Itziar Barrios
Rentrée 2024
RENCONTREZ Élodie font, AUTRICE DE à nos désirs
Venez échanger avec l’autrice lors de ses prochaines rencontres :
⟶Le 22 novembre, dans le cadre du festival Les créatives à Genève (Suisse), Anne-Laure Pineau, journaliste et membre du comité éditorial de La Déferlante, animera une rencontre entre les autrices Axelle Jah Njiké, Wendy Delorme et Elodie Font. Informations et inscriptions sur cette page.
Photo © Léa Crespi pour La Déferlante
29 février 2024
RETOUR SUR LA SOIRÉE DE LANCEMENT DU NUMÉRO 13 AVEC ANNIE ERNAUX
Atelier — chorale — table ronde — dj set
Vous n’étiez pas à Paris ce soir là ? Nous avons enregistré et diffusé la table ronde en direct sur le site www.revueladeferlante.fr ou sur nos chaînes YouTube et Instagram.
PRINTEMPS 2024
RENCONTREZ MARIE DOCHER, AUTRICE DE « ET L’AMOUR AUSSI »
Et l’amour aussi de Marie Docher, le deuxième ouvrage de La Déferlante Éditions est disponible à l’achat sur notre site et en librairie. Venez échanger avec l’autrice et l’équipe de La Déferlante, lors de nos prochaines rencontres :
- le 24 avril à 19h à la Comète (9 port de la Gare 75013 Paris) lors d’une rencontre croisée avec Emmanuelle Hascoët de la Bibliothèque nationale de France (BnF) et la photographe Anaïs Oudart dans le cadre de l’exposition « La France sous leurs yeux » à la Bnf où Marie Docher est exposée.
- le 4 mai à 16h à la Bibliothèque publique d’information (BPI) du Centre Pompidou dans le cadre du cycle « Contre-chant : luttes collectives, films féministes », entrée libre ;
- le 18 mai au Family Pride festival (La Cité Fertile à Pantin) ;
- le 23 mai à 19h15 à la librairie La Madeleine (Lyon) ;
- le 24 mai à la librairie du Tiers Temps à Aubenas ;
- le 25 mai à 9h lors d’un café-photos à la Nouvelle librairie Baume de Montélimar ;
- le 1er juin lors du festival Bédélire à Tours ;
- le 7 juin à Calais (plus d’informations à venir).
Photo © Béa Uhart pour La Déferlante
Numéro 13 — Mars 2024
AVORTER
Regardez la rencontre avec Annie Ernaux !
À l’occasion du lancement du numéro 13 de La Déferlante, suivez en direct la table ronde avec Annie Ernaux (prix Nobel de littérature), Mounia El Kotni (anthropologue de la santé) et Sarah Durocher (présidente nationale du Planning Familial), animée par Emmanuelle Josse ! Rendez-vous dès 20h sur le site revueladeferlante.fr ou en live sur YouTube et Instagram.
Dans le contexte actuel où la montée de l’extrême droite menace chaque jour un peu plus les droits reproductifs en France et dans le monde, nos invitées reviendront sur le chemin parcouru depuis 50 ans mais également sur l’urgence et les enjeux de la mobilisation actuelle, à l’aube du cinquantenaire de la loi Veil.