Lídia Ferrón Martínez
Après un début de carrière dans le social à Barcelone, elle rejoint la Bretagne en 2014 pour devenir agricultrice aux côtés de son conjoint. Elle est membre du groupe de paysannes en non-mixité choisie, “les Elles” et signe, dans ce numéro une chronique sur la lutte antifasciste en milieu rural.

©ARCHIVE PERSONNELLE
Après un début de carrière dans le social à Barcelone, elle rejoint la Bretagne en 2014 pour devenir agricultrice aux côtés de son conjoint. Elle est membre du groupe de paysannes en non-mixité choisie, “les Elles” et signe, dans ce numéro une chronique sur la lutte antifasciste en milieu rural.
Ses articles

La lutte antifasciste est (aussi) une lutte rurale !
Lídia Ferrón Martínez s’est installée en Bretagne il y a dix ans. Venant de Catalogne, elle avait l’habitude de militer en ville. Après un temps d’adaptation, elle a rejoint les luttes paysannes locales qui combattent l’extrême droite au quotidien, tout en défendant la culture bio et la souveraineté alimentaire.
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