Prenez part à La Déferlante

Devenez actionnaire !

Vous le savez, La Déferlante est une revue indé­pen­dante, uni­que­ment finan­cée par ses lec­trices et lec­teurs, grâce aux ventes en librai­rie et aux abon­ne­ments. Deux ans après sa créa­tion, le suc­cès de la revue est incon­tes­table : nous avons réus­si à nous impo­ser dans le pay­sage média­tique comme la revue de réfé­rence sur les luttes fémi­nistes et LGBT+. Chaque tri­mestre, ce sont plus de 5 000 exem­plaires de la revue qui sont ven­dus en librai­ries et nous venons de dépas­ser la barre des 10 000 abonné·es. Deux fois par mois, plus de 30 000 per­sonnes reçoivent notre news­let­ter. Enfin, depuis quelques mois, La Déferlante se décline aus­si en mai­son d’édition, et notre pre­mier ouvrage, La Fin des monstres, récit d’une tra­jec­toire trans, signé de notre ancien chro­ni­queur Tal Madesta, s’est déjà écou­lé à près de 5 000 exemplaires.

Tout cela est très encou­ra­geant, dans un pay­sage média­tique où la presse indé­pen­dante doit se battre pour exis­ter face à une concen­tra­tion accrue des médias. Mais ça n’est pas suffisant.

Pour atteindre l’équilibre éco­no­mique et deve­nir tota­le­ment auto­nome finan­ciè­re­ment, La Déferlante doit convaincre 17 000 abonné·es et vendre 40 000 revues et livres en librai­rie chaque année. Un hori­zon que nous espé­rons atteindre en 2025. D’ici là, nous allons conti­nuer à fabri­quer livres et revues, mais sur­tout faire des inves­tis­se­ments pour aller cher­cher ces nou­velles lec­trices et de nou­veaux lec­teurs. Dans un contexte mar­qué par le back­lash poli­tique qui menace les droits des femmes et des mino­ri­tés de genre, cette ambi­tion est d’autant plus importante.

Vous l’avez com­pris, La Déferlante a besoin de financements. 

Cet argent nous le réuni­ront col­lec­ti­ve­ment. Nous avons choi­si de confier à la pla­te­forme de finan­ce­ment éthique et durable LITA.co la réa­li­sa­tion d’une levée de fonds en capi­tal d’un mon­tant glo­bal de 300 000 euros. Si vous êtes 300 à inves­tir 1000 €, nous aurons réus­si notre pari. Ainsi, ce ne sont pas de puis­sants indus­triels qui ren­tre­ront dans le capi­tal de la revue, mais… nos lec­trices, nos lec­teurs et toutes celles et ceux qui nous soutiennent.

Vous pou­vez deve­nir action­naire de La Déferlante à par­tir de 100 euros.

C’est trop pour vous ? Alors n’investissez pas mais ache­tez notre revue, abonnez-vous, dites nous com­ment nous amé­lio­rer, sui­vez nous sur les réseaux sociaux, tous vos retours sont très pré­cieux pour nous. Vous pou­vez aus­si par­ta­ger cette page sur Facebook, Instagram, twit­ter ou Linkedin.

Si vous deve­nez action­naires, vous rejoin­drez la socié­té des lecteur·rices de La Déferlante.

Coulisses, choix édi­to­riaux et stra­té­giques, vous serez aux pre­mières loges pour vivre l’a­ven­ture de la revue : accès pri­vi­lé­gié aux secrets de fabri­ca­tion de La Déferlante, pos­si­bi­li­té de par­ti­ci­per ponc­tuel­le­ment aux confé­rences de rédac­tion, invi­ta­tion pour par­ti­ci­per aux événements.

Vous pour­rez défis­ca­li­ser votre inves­tis­se­ment à 50 %.

Depuis 2023, La Déferlante est recon­nue comme média d’information poli­tique et géné­ral et Entreprise soli­daire de presse d’in­for­ma­tion, ce qui per­met à nos action­naires de défis­ca­li­ser leur inves­tis­se­ment à hau­teur de 50 %. Si vous inves­tis­sez 200 €, vous dédui­sez 100 € de votre impôt sur le reve­nu, pour 500 €, vous dédui­sez 250 €, pour 1 000 €, vous dédui­sez 500 €…

Rejoignez la vague pour construire avec nous un ave­nir fémi­niste ! Plus nous serons nom­breux et nom­breuses, plus nous auront de chance d’y arriver. 

L’équipe sala­riée de La Déferlante. De gauche à droite : Candy Jones, Emmanuelle Josse, Léo Vignocan, Lucie Geffroy, Anne Vacca, Marion Pillas, Marie-Agnès Laffougère, Marie Barbier, Déborah Benzimra. Photo : Lynn S.K. pour La Déferlante.

Des ques­tions ?

Qu’est ce qu’une levée de fonds ?

Une levée de fonds consiste à faire entrer des investisseur·euses dans le capi­tal social d’une entre­prise. Les investisseur·euses apportent de l’argent à l’entreprise en contre­par­tie d’une prise de par­ti­ci­pa­tion dans son capi­tal social, et en deviennent ain­si actionnaires. 

En d’autres termes, cela vous per­met d’acquérir une part de La Déferlante, et de par­ti­ci­per à l’aventure d’un média fémi­niste de référence.

Qu’est-ce que le financement participatif (ou crowdequity) ? 

Le finan­ce­ment par­ti­ci­pa­tif ou crow­de­qui­ty, per­met à une entre­prise de se finan­cer en ouvrant son capi­tal social à une mul­ti­tude d’investisseur·euses, en géné­ral des particulier·ères, en dehors des cir­cuits finan­ciers ins­ti­tu­tion­nels (comme les fonds d’investissement par exemple). 

Nous avons choi­si de confier à la pla­te­forme de finan­ce­ment éthique LITA.co le soin de réa­li­ser cette opé­ra­tion finan­cière, très régle­men­tée. LITA.co per­met à chacun·e d’investir dans des entre­prises à impact social et envi­ron­ne­men­tal posi­tif, comme La Déferlante.

Quelle est la différence entre “crowdfunding” et “crowdequity” ?

Contrairement à des acteur·ices du crowd­fun­ding (comme KissKissBankBank ou Ulule), il ne s’a­git pas ici de faire un don assor­ti d’une contre­par­tie mais bien d’in­ves­tir dans le capi­tal social d’une entre­prise (crow­de­qui­ty). Vous deve­nez ain­si action­naire de la socié­té des lecteur·ices de La Déferlante. Chaque année, vous par­ti­ci­pez (en pré­sen­tiel ou en visio­con­fé­rence) à son assem­blée géné­rale et par­ti­ci­pez ain­si aux déci­sions collectives.

Où en est La Déferlante aujourd’hui ?

Il y a deux  ans, nous avons lan­cé le 1er numé­ro de La Déferlante grâce à une cam­pagne de crowd­fun­ding sur KissKissBankBank. Cette cam­pagne a été un véri­table suc­cès avec plus de 9500 pré­ventes. Nous avons ensuite réa­li­sé une pre­mière levée de fonds de 76 000 € à laquelle une dizaine de per­sonnes ain­si que le média Mediapart ont par­ti­ci­pé. La machine était lan­cée : vous vous êtes abonné·es, vous avez ache­té la revue, vous avez lu notre news­let­ter, et vous nous avez sui­vi sur les réseaux sociaux. En 2023, nous avons aus­si lan­cé une mai­son d’édition. En deux ans, le che­min par­cou­ru est immense : dix numé­ros publiés, plus de 10 000 abonné·es, 30 000 inscrit·es à notre news­let­ter, 55 000 fol­lo­wers sur Instagram !

À l’été 2021, nous avons pu déga­ger un salaire pour les quatre cofon­da­trices et coré­dac­trices en chef. En 2022, nous avons recru­té cinq per­sonnes à des postes clés : rédac­tion, déve­lop­pe­ment digi­tal, mar­ke­ting, com­mu­ni­ca­tion et administration.

En 2022, nous avons réa­li­sé un chiffre d’af­faires de 730 000 euros. Nous sommes aujourd’hui très proches de l’équilibre financier.

Pourquoi La Déferlante a besoin de financements ?

Pour atteindre l’équilibre finan­cier, La Déferlante doit conti­nuer à faire gran­dir sa com­mu­nau­té de lecteur·ices en déve­lop­pant sa force de frappe édi­to­riale : pro­po­ser davan­tage de conte­nus sur notre site web et nos réseaux sociaux, édi­ter des livres qui ques­tionnent le monde, publier des enquêtes inédites. Concrètement, cela veut dire lan­cer une nou­velle ver­sion du site inter­net, embau­cher trois jour­na­listes d’ici cinq ans ; publier entre trois et cinq livres chaque année et orga­ni­ser encore davan­tage d’événements. Notre objec­tif est d’atteindre 17 000 abonné·es et 40 000 livres et revues ven­dus chaque année en librai­rie à l’horizon 2025.

À quoi j’ai droit en tant qu’actionnaire de La Déferlante ?

En deve­nant action­naire, vous rejoi­gnez la socié­té des lecteur·ices de La Déferlante. En d’autres termes, vous déte­nez une part du capi­tal social et vous entrez offi­ciel­le­ment dans l’a­ven­ture de La Déferlante. Cela vous confère un droit de par­ti­ci­pa­tion et de vote aux assem­blées géné­rales de la socié­té des lecteur·ices.

Vous serez au cœur de notre pro­jet et de nos choix stra­té­giques de déve­lop­pe­ment. Coulisses, choix édi­to­riaux et stra­té­giques, vous serez aux pre­mières loges pour vivre l’a­ven­ture de la revue : accès pri­vi­lé­gié à la fabri­ca­tion de La Déferlante, pos­si­bi­li­té de par­ti­ci­per ponc­tuel­le­ment aux confé­rences de rédac­tion, invi­ta­tions pour par­ti­ci­per aux évé­ne­ments. Vous rece­vrez régu­liè­re­ment des infor­ma­tions pour suivre le déve­lop­pe­ment du média.

Mon investissement est-il défiscalisable ? 

La Déferlante est recon­nue comme média d’information poli­tique et géné­ral et entre­prise soli­daire de presse d’in­for­ma­tion (ESPI). Cela per­met à nos action­naires de défis­ca­li­ser leur inves­tis­se­ment à hau­teur de 50 % du mon­tant inves­ti, pla­fon­né à 20 000 euros de ver­se­ment pour un couple et 10 000 euros pour une per­sonne seule. Si vous inves­tis­sez 500 €, vous dédui­sez 250 € de votre impôt sur le reve­nu, pour 1 000 €, vous dédui­sez 500 €, etc.

À partir de combien puis-je investir ? Quels sont les risques ? 

Vous pou­vez inves­tir à par­tir de 100 €. 

Nous vou­lons ouvrir notre capi­tal à des per­sonnes qui portent les mêmes valeurs fémi­nistes que nous et per­mettre que chacun·e puisse ache­ter une part de La Déferlante en fonc­tion de ses moyens. Si vous êtes 300 à inves­tir 1000 €, nous aurons réus­si notre pari.

Soyons claires : votre inves­tis­se­ment dans La Déferlante, c’est un pari sur l’avenir et de l’argent immo­bi­li­sé entre 5 et 10 ans. On y croit à fond et on déploie une éner­gie folle pour que La Déferlante conti­nue à défer­ler dans le pay­sage média­tique. Si La Déferlante se déve­loppe confor­mé­ment à nos plans, nous aurons gagné notre pari. L’entreprise sera conso­li­dée, nous pour­rons ver­ser inté­res­se­ments et par­ti­ci­pa­tions à nos salarié·es et des divi­dendes aux actionnaires.

N’investissez que si vous êtes prêt·es à perdre la somme que vous avez investie.

Vais-je gagner de l’argent ?

Nous pen­sons qu’un média indé­pen­dant n’a pas voca­tion à faire du pro­fit com­mer­cial. Notre objec­tif est d’abord de péren­ni­ser notre entre­prise en attei­gnant l’équilibre finan­cier. Comme l’exige notre sta­tut d’ESPI (Entreprise Solidaire de Presse d’Information), si un jour la socié­té fait des béné­fices, au moins 70 % seront chaque année réin­ves­tis dans le déve­lop­pe­ment de l’entreprise. Les 30% res­tants seront redis­tri­bués sous forme d’in­té­res­se­ment et de par­ti­ci­pa­tion aux salarié·es et des divi­dendes pour­ront, éven­tuel­le­ment, être ver­sés aux actionnaires.Vous l’avez com­pris, notre objec­tif est d’abord de péren­ni­ser notre entre­prise en attei­gnant l’équilibre finan­cier et non de ver­ser d’importants divi­dendes à nos actionnaires.

Puis-je revendre mes parts ?

Vous inves­tis­sez dans la socié­té des lecteur·ices, vos parts ne pour­ront pas être reven­dues avant un évé­ne­ment (rachat des parts par l’entreprise, nou­velle levée de fonds…) qui per­met­tra la sor­tie de tous les investisseur·euses au même moment. Dans tous les cas, vous n’au­rez pas la pos­si­bi­li­té de revendre vos actions ni de sor­tir du capi­tal au moins avant cinq ans. Nous avons conve­nu avec LITA.co de rené­go­cier les condi­tions de sor­tie des action­naires de la socié­té des lecteur·ices de La Déferlante en 2028. Cette clause garan­tie la sta­bi­li­té de notre entre­prise de presse : nous n’avons pas inté­rêt à ce que les action­naires revendent leurs actions à court terme.

Si vous ouvrez votre capital, cela met-il en danger votre indépendance ?

Non, au contraire !

Le meilleur moyen de garan­tir notre pleine indé­pen­dance est de nous doter de moyens suf­fi­sants pour accom­plir nos mis­sions et de pro­té­ger le capi­tal de La Déferlante. Ce ne sont pas de puis­sants capi­taines d’industrie mil­liar­daires qui ren­tre­ront dans le capi­tal de la revue, mais nos lec­trices, nos lec­teurs et toutes celles et ceux qui nous soutiennent.

En lan­çant un finan­ce­ment par­ti­ci­pa­tif, col­lec­tif et citoyen, nous pro­po­sons un modèle d’entrepreneuriat fémi­ni­niste, col­lec­tif et col­la­bo­ra­tif, avec nos lecteur·ices, et tous·tes celles et ceux qui nous sou­tiennent. Concrètement : si nous attei­gnons nos objec­tifs de finan­ce­ment, les 4 cofon­da­trices conser­ve­ront 77 % du capi­tal à l’issue de cette levée de fonds. 17 % appar­tien­dront aux action­naires réuni·es dans la Société des lecteur·ices. Les 6 % res­tants appar­tien­dront aux pre­mières action­naires qui avaient par­ti­ci­pé à la pre­mière levée de fonds (Mediapart et dix proches). Plus vous serez nombreux·ses, plus notre indé­pen­dance sera pré­ser­vée, et plus notre voix por­te­ra collectivement. 

Enfin, nous nous gar­dons le droit de refu­ser les inves­tis­se­ments de per­sonnes ou enti­tés si nous esti­mons qu’ils ou elles ne sont pas en adé­qua­tion avec les valeurs fémi­nistes de notre média.

Alors comme ça, La Déferlante a rejoint la start-up nation ?

Non. À ce sujet, on se recon­naît bien dans cet article écrit par l’équipe de Loom, en 2019, au moment de leur levée de fonds : « Pourquoi nous ne serons jamais une star­tup ». Ce qui pilote la stra­té­gie d’une star­tup, c’est d’avoir une crois­sance expo­nen­tielle avec un maxi­mum de pro­fit rapide. À La Déferlante, nous sou­hai­tons un déve­lop­pe­ment durable et mesu­ré, en adé­qua­tion avec nos valeurs fémi­nistes. Nous prô­nons un déve­lop­pe­ment pro­gres­sif, sain et solide de notre entre­prise, fon­dé sur un entre­pre­na­riat fémi­niste, col­lec­tif et col­la­bo­ra­tif. Être béné­fi­ciaire : oui ; cher­cher le pro­fit à tout prix : non. Rémunérer à leur juste valeur les salarié·es, free­lances, pigistes et pres­ta­taires : oui. Travail béné­vole et salaires au rabais : non.

Levée de fonds et révolutions féministes, c’est compatible ? 

Dans les pages de la revue, nous pas­sons à la mou­li­nette le capi­ta­lisme en se deman­dant par exemple si le fémi­nisme est soluble dans le capi­ta­lisme. Clairement, une levée de fonds s’inscrit dans un sys­tème capi­ta­liste. Nous fai­sons une levée de fonds pour obte­nir des fonds néces­saires à la péren­ni­té de notre pro­jet. C’est un moyen et non une fin. 

Le fon­de­ment du capi­ta­lisme, c’est l’extorsion de la plus-value, la crois­sance maxi­mum du pro­fit. La Déferlante ne s’inscrit pas dans cette approche. Nous pro­mou­vons un entre­pre­na­riat fémi­niste, col­lec­tif et col­la­bo­ra­tif et met­tons un point d’honneur à créer des condi­tions de tra­vail équi­tables. Ensuite, parce qu’en pas­sant par une cam­pagne de finan­ce­ment par­ti­ci­pa­tif, cela nous per­met de ne pas sol­li­ci­ter des fonds d’investissement dont l’objectif prin­ci­pal est de récu­pé­rer le plus de pro­fits pos­sibles, en un mini­mum de temps. Notre sou­hait de créer une socié­té des lecteur·ices et notre sta­tut d’Entreprise Solidaire de Presse d’Information (ESPI) qui nous imposent de rever­ser 70 % de nos béné­fices dans notre entre­prise disent bien notre vision de l’entrepreneuriat : res­pon­sable, col­la­bo­ra­tive et ouverte. Nous ne sou­hai­tons pas gran­dir vite et engen­drer un maxi­mum de pro­fit. Nous sou­hai­tons gran­dir serei­ne­ment, plan­ter nos racines pro­fon­dé­ment pour peser dans le pay­sage média­tique et le débat public.

Que se passe-t-il si le montant minimal de la levée de fonds n’est pas atteint ? 

Dans le cas où le mon­tant mini­mum de la col­lecte de La Déferlante ne serait pas atteint (200 000 €), la cam­pagne est alors annu­lée et les investisseur·euses seront remboursé·es inté­gra­le­ment du mon­tant inves­ti incluant les frais.

Puis-je en savoir plus sur LITA.co ?

LITA.co a été fon­dée en 2014, et compte désor­mais une équipe de plus de 50 salarié·es en France, en Belgique et en Italie. Sa mis­sion est de rendre acces­sible à toutes et tous l’investissement dans des entre­prises por­teuses d’innovations sociales et éco­lo­giques durables. Agréée par l’Autorité des Marchés Financiers et par ESUS, LITA.co est l’u­nique pla­te­forme label­li­sée par FAIR (ex Finansol, label qui atteste du carac­tère soli­daire et trans­pa­rent des pro­duits finan­ciers). C’est une pla­te­forme de crow­de­qui­ty, c’est-à-dire qu’en échange d’une par­ti­ci­pa­tion finan­cière, les par­ti­cu­lie­rères et par­ti­cu­liers peuvent entrer au capi­tal d’une entre­prise à impact, et en deviennent ain­si actionnaires.

Est-ce que LITA.co prend une commission sur mon investissement ? 

Oui, lors de votre inves­tis­se­ment, vous paie­rez des frais pour per­mettre à LITA.co de cou­vrir les coûts de tran­sac­tion ban­caires et assu­rer les ser­vices de conseils indi­vi­dua­li­sés. Ils sont pré­le­vés une seule fois lors de l’in­ves­tis­se­ment et dégres­sif :
- 3% pour un inves­tis­se­ment infé­rieur à 6 000€,
- 2% entre 6 000€ et 15 999€
- 1% lorsqu’il est supé­rieur ou égal à 16 000€.

Par ailleurs, La Déferlante paye à LITA.co une com­mis­sion sur les mon­tants col­lec­tés. Cette com­mis­sion est de 6% pour les investisseur·euses issu·es de la com­mu­nau­té de Lita.co et de 5% pour celles et ceux issu·es de la com­mu­nau­té de La Déferlante. C’est pour­quoi cette ques­tion vous sera posée au moment de votre investissement.

Comment ça se passe concrètement pour investir ?

Il suf­fit de se rendre sur notre page LITA, de créer un pro­fil et de sélec­tion­ner le mon­tant d’investissement sou­hai­té. C’est un peu plus long qu’un simple achat en ligne, et tant mieux, car l’investissement néces­site un mini­mum de démarche.

Au stade de la pré-collecte jusqu’à la mi-juin, l’intention d’investissement est non enga­geante et modi­fiable (mon­tant com­pris), et vous per­met­tra d’être tenu au cou­rant de l’actualité de la levée de fonds jusqu’au pas­sage en col­lecte (a prio­ri vers la mi juin). C’est seule­ment dans cette seconde phase que vous pour­rez confir­mer le mon­tant de l’investissement, choi­sir votre mode d’investissement (via CB, vire­ment, etc.), signer votre bon de sous­crip­tion et son annexe, le DIRS (acro­nyme de « Document d’Information Réglementaire Synthétique », qui réca­pi­tule l’ac­ti­vi­té de l’en­tre­prise, son mar­ché, les règles de gou­ver­nance, et les condi­tions d’investissement). Vous serez ensuite offi­ciel­le­ment action­naire de la socié­té des lecteur·ices de La Déferlante.

Pour vali­der votre inves­tis­se­ment, votre pro­fil LITA doit être com­plé­té à 100 %. Pour cela, vous aurez besoin :

- d’un jus­ti­fi­ca­tif d’identité recto/verso,

- d’un jus­ti­fi­ca­tif de domi­cile récent,

- de répondre à quelques questions.

Je suis business angel, j’ai l’habitude d’investir dans des entreprises : puis-je vous parler ?

Bien sûr ! Vous pou­vez contac­ter Marine Nicolot de LITA.co qui pour­ra échan­ger avec vous sur le pro­jet et orga­ni­ser si besoin un rendez-vous avec les cofondatrices.

Je suis une entreprise, puis-je investir ?

Oui ! En revanche, par sou­ci de notre indé­pen­dance, nous gar­dons un droit de regard sur les entre­prises qui sou­haitent entrer au capi­tal, et nous pou­vons refu­ser cer­taines demandes d’investissements. Si l’en­tre­prise que vous repré­sen­tez n’entre pas dans les valeurs du maga­zine, nous pour­rons refu­ser votre investissement.

Je suis intéressé·e, mais je m’y perds un peu, pouvez-vous m’aider ?

Pas de panique, chez LITA.co toute une équipe de conseiller·es en inves­tis­se­ment res­pon­sable est dis­po­nible pour vous aider pas à pas dans votre démarche. N’hésitez pas à prendre rendez-vous par télé­phone au jour et à l’heure qui vous arran­ge­ra à ce lien : https://calendly.com/lita-co-rdv-tel-conseillers-investissement-durable 

Vous pou­vez aus­si poser vos ques­tions sur le tchat en ligne (pour ce qui concerne le par­cours d’in­ves­tis­se­ment) ou direc­te­ment sur la page La Déferlante sur LITA.co dans la rubrique Questions/Réponses (pour ce qui concerne le projet).

Je ne peux pas investir maintenant, mais ça m’intéresse, je fais quoi ?

Notre levée de fonds s’achèvera au plus tard le 31 juillet 2023. Si vous n’avez pas les moyens d’investir main­te­nant, ne vous inquié­tez pas ! Parler de cette levée de fond autour de vous, ou par­ta­ger cette page sur les réseaux sociaux, c’est déjà beau­coup nous aider !

J’ai fait ma promesse d’investissement, je fais quoi maintenant ? 

Tout d’abord, un immense mer­ci de rejoindre l’aventure de La Déferlante ! Voici la check-list pour pas­ser à la phase 2 à l’issue de la pré-collecte (à la mi-juin 2023) : 

1) Je m’as­sure que mon pro­fil est com­plé­té et vali­dé (pour être dans les starting-blocks et pou­voir confir­mer mon inves­tis­se­ment le jour J).

2) Je lis rigou­reu­se­ment le dos­sier d’in­ves­tis­se­ment quand il sera disponible.

3) Je pose toutes mes ques­tions dans l’onglet “Question/Réponse” de notre page sur LITA.co ou je prends rendez-vous  sur https://calendly.com/lita-co-rdv-tel-conseillers-investissement-durable 

4) Je patiente et je reste en alerte jusqu’à ce que je reçoive un mail de Lita pour annon­cer l’ou­ver­ture de la phase 2 dite de “col­lecte” afin de  confir­mer mon investissement.

Être informé·e de l’avancée
de notre levée de fonds

Nous vous tien­drons informé·e par le biais de notre newsletter.