Sarah Bosquet
Journaliste membre du collectif Hors Cadre, elle s’intéresse à l’actualité carcérale, à la dépollution des friches industrielles ou à l’accompagnement des victimes de violences sexistes et sexuelles. Dans nos pages, elle signe l’enquête sur le burn out dans les associations féministes.
©ARCHIVE PERSONNELLE
Journaliste membre du collectif Hors Cadre, elle s’intéresse à l’actualité carcérale, à la dépollution des friches industrielles ou à l’accompagnement des victimes de violences sexistes et sexuelles. Dans nos pages, elle signe l’enquête sur le burn out dans les associations féministes.

Ses articles

 

Crédit photo : Archives Charmet / Bridgeman Images
Focus

Quand l’habit fait le genre

Depuis des siècles, les vêtements entravent, contraignent et exposent le corps des femmes. Mais ils servent aussi à les dis­tin­guer des corps masculins. Si les carcans sont une réalité, l’histoire de la mode montre aussi des nuances, des espaces de luttes et de victoires féministes.
Des rassemblements en soutien à Gisele Pélicot et à toutes les victimes de violences sexuelles se sont tenus le week-end dernier dans toute la France. Ici à Paris, le 14 septembre 2024. Crédit photo : Estelle Ruiz/Hans Lucas.
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Procès des viols « de Mazan » : « Il faut résister à l’héroïsation des victimes »

Depuis le 2 septembre, 51 hommes com­pa­raissent devant la cour cri­mi­nelle du Vaucluse, accusés de viols aggravés sur Gisèle Pélicot. Applaudie dans les couloirs du tribunal, soutenue dans des tribunes et acclamée dans des mani­fes­ta­tions, cette dernière est devenue en quelques semaines une icône de la lutte contre le viol. Dans cette news­let­ter, Valérie Rey-Robert, militante contre les violences sexuelles et autrice d’Une culture du viol à la française (Libertalia, 2020), appelle à la prudence : elle rappelle que si les monstres n’existent pas, les héroïnes non plus…
Conclusion du débat par Aminata Dango. Elle est présidence et co fondatrice de l'association crée en 2018. Elle travaille plus de 40h par semaine pour l'association. Petite elle a connu de grosses difficultés avec sa famille, ils ont beaucoup été aidés par des associations c'est pour cette raison qu'elle a décidé de s'engager. "Si demain on arrête je ne sais pas ce que ces femmes vont devenir. La CAF, les CCAS orientent des femmes vers nous." "Il nous faut des salariés mais malheureusement on manque de moyens."- Journée internationale contre les mutilations génitales féminines organisée par l'association Djamma Djigui, le 10 février 2024, Noisiel
Reportage

Les associations féministes en burn-out

Maillon essentiel de la lutte contre les violences sexistes et sexuelles, les asso­cia­tions fémi­nistes croulent sous les demandes de victimes. Dans le même temps, les finan­ce­ments manquent cruel­le­ment. Résultat : les bénévoles et les salariées de ces struc­tures sont en grande souf­france. Et les victimes ne béné­fi­cient pas toujours de l’aide dont elles ont besoin. 

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