Bouleversante lettre à celle qui partage sa vie, cette deuxième chronique de Tal Madesta est une ode aux amours trans. Celles qui offrent un espace de dialogue et de compréhension sur la manière dont la transition change le rapport au monde et à soi.
Numéro 6
Mariama Bâ
“Extrait d’Une si longue lettre, classique de la littérature sénégalaise écrit par Mariama Bâ auquel l’autrice Axelle Jah Njiké rend un hommage poignant.
”
Les meilleures blagues sont féministes
Depuis quelques années, une génération d’humoristes emporte l’adhésion de son public en déconstruisant les stéréotypes de genre. De quoi ringardiser pour de bon les saillies sexistes d’un Jean-Marie Bigard ?
Les Barbues à l’assaut du pouvoir
Depuis plus de dix ans, les membres du groupe féministe La Barbe se sont fait une spécialité d’envahir conseils d’administration et autres réunions de pouvoir affublées de fausses barbes. Quatre d’entre elles racontent comment le rire peut être une arme politique.
Rage Polonaise
Ce portfolio rassemble six photographes polonaises pour rendre compte en images de l’intensité des mobilisations de la jeunesse polonaise, entre défense du droits à l’IVG et rage anti-Poutine
Anne Bonny & Mary Read, Pirates sans contrefaçon
En bande dessinée, une histoire d’amours lesbiennes entre les pirates Mary Read et Anne Bonny, qui parcouraient les mers des Caraïbes au XVIIIe siècle
Comment mieux définir les féminicides ?
Comment définir les féminicides pour mieux les compter ? La question a ressurgi récemment dans le débat public français. La magistrate Gwenola Joly-Coz, l’historien Frédéric Chauvaud et la militante de #NousToutes Maëlle Noir reviennent sur les débats concernant son acception.
« Le rire des femmes a été réprimé pendant des siècles »
Pendant longtemps proscrit l’hilarité féminine. Perçu comme le symptôme d’une sexualité débridée ou une offense aux bonnes moeurs, le rire des femmes relève d’une transgression de genre. Entretien avec l’historienne Sabine Melchior-Bonnet.
Ouh Ouh !
Dans toutes les familles, il y a des enfants qui arrachent des rires et les enfants qui récoltent des grimaces. La narratrice le sait bien : prête à tout pour prouver qu’elle est drôle, elle va découvrir que le rire est l’arme du diable.
Sur le banc de touche
Marthe adorait le volley-ball. Mais à l’adolescence, le sexisme a eu raison de sa passion. Deuxième chronique réalisée dans le cadre d’un atelier d’écriture sur le thème « genre et ville » au sein du Labo 148 de la Condition publique, à Roubaix.