Numéro 6

Lettre au cyclone qui m’a guéri

Lettre au cyclone qui m’a guéri

Bouleversante lettre à celle qui par­tage sa vie, cette deuxième chro­nique de Tal Madesta est une ode aux amours trans. Celles qui offrent un espace de dia­logue et de com­pré­hen­sion sur la manière dont la tran­si­tion change le rap­port au monde et à soi.

Mariama Bâ

Mariama Bâ

“Extrait d’Une si longue lettre, clas­sique de la lit­té­ra­ture séné­ga­laise écrit par Mariama Bâ auquel l’autrice Axelle Jah Njiké rend un hom­mage poignant.

Comment mieux définir les féminicides ?

Comment mieux définir les féminicides ?

Comment défi­nir les fémi­ni­cides pour mieux les comp­ter ? La ques­tion a res­sur­gi récem­ment dans le débat public fran­çais. La magis­trate Gwenola Joly-Coz, l’historien Frédéric Chauvaud et la mili­tante de #NousToutes Maëlle Noir reviennent sur les débats concer­nant son acception.

Ouh Ouh !

Ouh Ouh !

Dans toutes les familles, il y a des enfants qui arrachent des rires et les enfants qui récoltent des gri­maces. La nar­ra­trice le sait bien : prête à tout pour prou­ver qu’elle est drôle, elle va décou­vrir que le rire est l’arme du diable.

Sur le banc de touche

Sur le banc de touche

Marthe ado­rait le volley-ball. Mais à l’adolescence, le sexisme a eu rai­son de sa pas­sion. Deuxième chro­nique réa­li­sée dans le cadre d’un ate­lier d’écriture sur le thème « genre et ville » au sein du Labo 148 de la Condition publique, à Roubaix.