Tal Madesta

La fête, un milieu hostile pour les femmes trans

La fête, un milieu hostile pour les femmes trans

« À l’arrivée [dans le club], la dame de la sécu annonce : “Je ne fais de palpations qu’aux femmes qui ont un F sur leurs papiers d’identité” ». Ce récit, relaté en avril dernier sur Instagram par la poétesse Luz Volckmann et la DJ Edna, venues participer à une soirée...

Tal Madesta — Être trans, du deuil à la lumière

Tal Madesta — Être trans, du deuil à la lumière

Il y a deux choses auxquelles je n’étais pas préparé lorsque j’ai compris qui j’étais. La première, c’est à quel point être trans revient à apprendre le deuil. Tous les jours, autour de moi, j’observe les unes qui portent l’habit noir et les autres dont les épaules...

Tal Madesta — Le privilège de l’invisibilité

Tal Madesta — Le privilège de l’invisibilité

Dans cette troisième chronique, Tal Madesta raconte comment sa tran­si­tion de genre lui permet d’accéder à un privilège masculin par­ti­cu­liè­re­ment appré­ciable : il cesse, peu à peu, de se sentir traqué quand il sort la nuit et peut se fondre dans le décor, se faire oublier.

Lettre au cyclone qui m’a guéri

Lettre au cyclone qui m’a guéri

Bouleversante lettre à celle qui partage sa vie, cette deuxième chronique de Tal Madesta est une ode aux amours trans. Celles qui offrent un espace de dialogue et de com­pré­hen­sion sur la manière dont la tran­si­tion change le rapport au monde et à soi.

Accepter que « Femme » n’est pas mon chemin

Accepter que « Femme » n’est pas mon chemin

En 2020, Tal Madesta entame une tran­si­tion de genre. Pendant plusieurs mois, il oscille entre le sou­la­ge­ment et un ver­ti­gi­neux sentiment de vul­né­ra­bi­li­té. Mais cette épopée, placée sous le signe de la tendresse amoureuse, est d’abord celle d’une réap­pro­pria­tion de son corps.