Dans cette troisième chronique, Tal Madesta raconte comment sa transition de genre lui permet d’accéder à un privilège masculin particulièrement appréciable : il cesse, peu à peu, de se sentir traqué quand il sort la nuit et peut se fondre dans le décor, se faire oublier.
Tal Madesta
Lettre au cyclone qui m’a guéri
Bouleversante lettre à celle qui partage sa vie, cette deuxième chronique de Tal Madesta est une ode aux amours trans. Celles qui offrent un espace de dialogue et de compréhension sur la manière dont la transition change le rapport au monde et à soi.
Accepter que « Femme » n’est pas mon chemin
En 2020, Tal Madesta entame une transition de genre. Pendant plusieurs mois, il oscille entre le soulagement et un vertigineux sentiment de vulnérabilité. Mais cette épopée, placée sous le signe de la tendresse amoureuse, est d’abord celle d’une réappropriation de son corps.